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Ein deutsches Requiem op.45
Chen Reiss soprano
Thomas Tatzl bariton
Collegium Vocale Gent choeur
Antwerp Symphony Orchestra orchestre
Matthew Halls chef d’orchestre
Dès les premières présentations en 1868 de Ein deutsches Requiem de Johannes Brahms, les avis sont unanimement positifs. Le critique musical viennois Hanslick va encore plus loin en écrivant : « Depuis la Messe en si de Bach et la Missa solemnis de Beethoven, plus rien dans ce genre n’a été écrit qui puisse être comparé au deutsches Requiem de Brahms. » Ces différents chefs-d’oeuvre sont unis entre eux, non seulement pour leurs évidentes richesses musicales, mais aussi pour ce même message transcendant. Le contexte religieux est un point de départ, et non un but. Ein deutsches Requiem n’est pas une musique triste, mais une musique qui console ; une musique pour les vivants !